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    La sensibilité s’y perçoit à fleur de cordes - Sélection disques 2022
    Pierre Gervasoni, Le Monde (2022)
    La couleur intimiste de l’ensemble de chambre est un doux écrin pour ce mystère qu’est la nuit.
    Joséphine Laffaille, ComposHer (2022)
    Des élans irrésistibles, des couleurs, des impressions, des sensations, une grande netteté du jeu, un sens du phrasé, des dynamiques, du drame et des sentiments.
    Jérôme Gillet, Froggy’s Delight (2022)
    Marianne Piketty et son ensemble Le Concert Idéal, dans un engagement commun, parviennent à une unité d’inspiration des plus abouties, laissant l’auditeur au cœur d’une richesse musicale indéniable.
    Jean-Jacques Millot, Opus HD (2022)
    L'Heure Bleue : Un concert qui élève l'âme.
    La Renaissance du Loir-et-Cher (2022)
    5 DIAPASONS. Des solistes à un niveau virtuose [...] pour offrir des gerbes d'ornements jubilatoires. Album à ne pas manquer.
    Roger-Claude Travers, Diapason (2021)
    L’interprétation est, comme souvent chez Marianne Piketty et Le Concert Idéal, pleine de couleurs, de vivacité, de générosité et d’esprit.
    Jérôme Gillet, Froggy’s Delight (2021)
    On reste bouche bée devant l’alchimie musicale.
    Laurent Pfaadt, Hebdoscope (2021
    Le Concert Idéal reflète dans son interprétation la vie battante et trépidante que menait la Venise marchande du 18ème siècle.
    Guy Engels, Pizzicato (2021)
    La musique […] est explorée sous toutes ses coutures avec une grande finesse. Les musiciens […] dépassent la virtuosité et se font passeurs de merveilles.
    Coline Robert, La Provence (2021)
    La musique suffit ici à l’ardeur des sentiments, comme elle se suffit à elle-même dans les emportements virtuoses de Vivaldi.
    Jean-Guillaume Lebrun, La Terrasse (2021)
    Une pause fraîcheur à Avignon.
    Marie Gicquel, France Musique (2021)
    Ce CD n'est que lumière.
    Claude Lamarque, Lion Magazine (2021)
    5 étoiles ***** La palette expressive de Marianne Piketty, soutenue par Le Concert Idéal, fait de cette "Heure Bleue" un voyage intérieur d'une grande densité : refusant toute esbroufe démonstrative, elle donne des œuvres choisies une vision à la fois cohérente et profonde.
    Sarah Léon, Classica (2020)
    Dans le Concerto funèbre d'Hartmann, Marianne Piketty y est irrésistible
    Pierre Gervasoni, Le Monde (2020)
    De temps en temps, dans le monde de la musique classique, apparaît un album qui ne ressemble à aucun autre, aussi surprenant par l'originalité du concept que par son programme. L'Heure Bleue est de ce genre de réalisation, unique.
    Maciej Chiżyński, Audiokoneser (2020)
    L’Heure Bleue représente ainsi ce moment où le temps, comme la musique de cet incroyable ensemble, semble s’arrêter, se figer dans une sorte de grâce.
    Laurent Pfaadt, Hebdoscope (2020)
    Un disque riche et inspiré, qui invite à regarder au plus profond de soi-même.
    Marie Humbert, ComposHer (2020)
    Inspiré par des cordes qui ont du coffre (Le Concert idéal) et par une violoniste douée pour l’itinérance (Marianne Piketty), Philippe Hersant livre ici l’une de ses œuvres les plus abouties
    Pierre Gervasoni, Le Monde (2020)
    Avec ce disque, le Concert idéal n’a jamais aussi bien porté son nom.
    Laurent Pfaadt, Hebdoscope (2020)
    L’Heure Bleue : ce disque donne de la foi en l’avenir
    Anne-Sandrine Di Girolamo, Gang Flow (2020)
    Il vous est recommandé de vous rendre dans ce voyage sonore extraordinaire pour découvrir la richesse des ambiances offertes par Marianne Piketty et Le Concert Idéal.
    Maciej Chiżyński, Audiokoneser (2020)
    Trois compositions liturgiques d'Hildegarde Von Bingen étaient livrées au public, servies magistralement par les instrumentistes, particulièrement par Marianne Piketty, virtuose premier violon et directrice artistique de l’ensemble
    La Nouvelle République (2019)
    Une effusion musicale, où crépitent comme au coin du feu, les âmes étourdies de Vivaldi et Piazzolla… superbement interprété… Nous avons découvert avec stupéfaction le potentiel de ces musiciens.
    Le Monde (2019)
    Sur scène, les musiques de deux monstres sacrés, Antonio Vivaldi et Astor Piazzolla, se rencontrent, se croisent et interpellent l'auditoire dans une beauté envoûtante et les musiciens sont aériens.
    DNA (2018)
    Un pur moment de musique émouvant et rythmé. Avignonnais.es et festivaliers suspendez votre course pour assister à cet te musique sublime, tellement bien jouée et pourtant unique et vibratoire. Ces musiciens mêlent chorégraphie et musique avec brio pour notre plus grand plaisir.
    Avignon à l'Unisson (2018)
    A la tête de son ensemble, le bien nommé Concert idéal, Marianne Piketty déroule avec art la pelote de fils violonistiques dans un labyrinthe dont, comme nous, elle ne semble pas vouloir sortir.
    Pierre Gervasoni, Le Monde (2019)
    UN DISCO MEMORABILE
    Ferruccio Nuzzo, Grey Panthers (2019)
    Un chef-d’oeuvre de diffraction sensible, aussi intelligemment écrit que profondément ressenti
    Pierre Gervasoni, Le Monde (2019)
    This is an album of joyful synthesis and occasional genius, a thoughtful experiment in threading together the old and the new
    Mark Seow, Gramophone (2019)
    On vous avait prévenus : Marianne Piketty est tout sauf le prototype de la concertiste traditionnelle. Elle ne cesse d’inventer de nouvelles formes, flirte avec le théâtre, la danse et crée même son propre orchestre : Le Concert Idéal.
    Antoine Pecqueur, La Terrasse (2018)
    Marianne Piketty nous emmène avec générosité, légèreté et virtuosité dans la fougue des musiques de Vivaldi et de Piazzolla qui se croisent, se repoussent comme pour mieux s’imbriquer.
    DNA (2018)
    Les musiciens ne se contentent pas d'être des interprètes, ils vivent leur spectacle avec corps et leur âme. Ils incarnent les mélodies, se trouvent, se perdent de vue, se retrouvent.
    DNA (2018)
    Ce « Concert Idéal » brillamment interprété par la célèbre violoniste Marianne Piketty et un magnifique ensemble de musiciens ont fait vibrer le public de connaisseurs en les faisant voyager d’un rivage à l’autre, d’une saison à l’autre.
    Mathias Chaidat, Ouest-France (2017)
    L’intensité ne faiblit jamais. La musique classique a un pouvoir un peu magique. Vous l’écoutez, attentif, paisible, inspiré… Et puis, au détour d’une note, d’un son, d’un instant furtif : un frisson. Une larme. Sans raison véritable, sans explication rationnelle. Les instants comme ceux-là ne manquent pas dans ce concert. Et sans doute que le talent et la générosité des musiciens mêlés à la richesse des œuvres présentées y sont pour quelque chose, bien sûr.
    L'Info tout court (2017)